lundi 25 juillet 2005

Il n'y a pas d'alternative entre réforme et révolution. Il faut qu'il y ait possibilité de révolution pour que la réforme soit en position d'obtenir autre chose que d'insignifiants hochets. On comprend l'insistance de certains à opposer à tout crin les révolutions, nécessairement "totalitaires", et le réformisme "humain".

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