lundi 17 juillet 2006

Sans moi le déluge.

Eh bien, eh bien, il suffit donc que je prenne quelques jours de repos pour que le monde roule encore plus de travers que d'habitude. Et ce n'est pas la première fois ! Le meilleur footballeur du monde s'oublie, le meilleur peuple du monde (je ne serais pas loin de le penser... Je vais finir vieux philosémite. Et ni par culpabilité ni pour l'argent ! par pure admiration) a une drôle de manière d'appliquer la loi du talion... Il était temps que je revienne aux affaires. Malgré l'abus de bonnes choses, j'ai perdu du poids, me voilà donc d'attaque.


En attendant, et puisque rien ne m'est plus cher que l'union franco-italienne, qu'Ezio Pinza et Ernest Blanc vous bénissent tous !







(Le sort fait à Ernest Blanc sur le Web prouve qu'Internet est encore plein de lacunes. Courez dépenser vos euros pour acheter la Carmen de Beecham ou le Faust de Cluytens. Encore une fois Céline : "Effroyablement patriote !" Pour Pinza n'importe quel enregistrement ou anthologie fait l'affaire. Il y a des voix comme des miracles et du travail).

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