mardi 24 juillet 2007

"La paix n'est pas l'abolition de l'ennemi, mais la reconnaissance de l'ennemi."

Les vieux habitués (exclusivement masculins, j'ai l'impression, il m'arrive de le regretter quelque peu) de ce café se souviennent sans doute de la conversation entre Julien Freund et Pierre Bérard, que j'avais retranscrite et commentée en trois volets. Depuis Julien Freund s'est fait rare entre nos murs - on n'a qu'une vie, les journées n'ont que vingt-quatre heures - mais je tombe ce matin par hasard sur cette évocation de la guerre selon J. Freund par un certain Gilles Renaud, court texte dont je me permets de vous conseiller la lecture, à la fois parce qu'il permet de remettre certaines idées en place, et parce que c'est un bon point de départ pour mesurer la réalité des apports de nouveaux concepts ou de nouvelles théories, comme :

- laG4G : je vous donne ce lien de présentation, que je vous invite à compléter par les analyses de Dedefensa sur le sujet ;

- liée à la précédente, la guerre asymétrique ;

- la "militarisation de la paix" : je vous donne ici le lien vers la première partie de ce texte, vous trouverez la suite dans la colonne de droite.

tout cela bien sûr, vous l'aurez compris, on n'a qu'une vie, les journées n'ont que vingt-quatre heures, la guerre des sexes sur fond de clitorisation petite-bourgeoise généralisée est un domaine d'étude - et de pratique - suffisant actuellement pour mes peines et plaisirs,

tout cela afin que ceux que cela intéresse fassent ce travail de mise en perspective à ma place. Bonne(s) lecture(s) !

"Seul celui-là peut faire la paix ou l’établir qui a les moyens de faire la guerre ou éventuellement de l’empêcher."

"Aucune socialisation, pas même le conflit, n’est exclusivement une forme de lutte, car elle est également une forme d’unification."

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