dimanche 26 février 2017

"Au moins, si Marine Le Pen est élue...

...les gens verront que le fascisme français n'existe pas", me dit un ami. Il est vrai que l'on peut souhaiter qu'alors le fantôme d'Hitler enfin disparaîtrait et que ce blocage de la pensée, au moins, serait levé. Certes les journaputes français feraient sans doute tout ce qu'ils pourraient pour nous convaincre que la bête immonde, le ventre fécond, les heureslesplus, etc., mais je pense pas que cela pourrait beaucoup tromper Popu. - En revanche, il est à craindre que les plus obtus représentants de ma génération (début années 70) ne croient de leur devoir d'empêcher la venue au pouvoir de ce soit-disant fascisme, et qu'ils s'obstinent d'autant plus en ce sens que cette femme républicaine, qui pourrait être la première femme président en France (et qui est entourée d'homosexuels, tout pour leur plaire), se rapproche de son objectif. Bref, ils peuvent encore foutre la merde. - Non, encore une fois, que l'on voie en Mme Le Pen plus que ce qu'elle peut offrir, mais au moins, donc, pour donner un peu d'air frais au pays - les « extrêmes » ne conduisent pas nécessairement aux chambres à gaz, pour synthétiser.