vendredi 21 juillet 2017

Le manque de temps, mon vieil ordinateur qui mouline, et des pédés d'Anglais bourrés qui hurlent autour de moi...

ne me laissent pas le loisir de vous raconter tout ce que j'espérais vous raconter ce soir, je me contente donc de vous conseiller la lecture de cet affligeant article, signalé par Julien Rochedy. On y apprend "Comment élever son fils pour qu'il ne devienne pas sexiste". Il semblerait donc qu'une petit fille ne puisse pas devenir sexiste, je suis un peu étonné par cette discrimination, mais vais vite à l'expression qui m'a le plus frappé :

"Dans son livre, Robin Morgan raconte qu'elle imaginait pour son fils des alternatives aux « fêtes patriarcales » . « La fête des sorcières » , par exemple."

Quand on est comme moi plongé jusqu'au cou dans l'occulto-socialisme du livre de Muray, et d'une de ses thèses principales, à savoir que dès l'on quitte le système catholique de Dieu le Père, on voit ressurgir de vieux cultes païens, féminins, et fondés sur la multiplicité, non seulement on n'est pas étonné de cette idée féministe, mais on rigole presque à la lecture du « par exemple ». Et qu'une féministe encourage la laideur (les sorcières sont moches, dois-je le rappeler), ce n'est hélas pas surprenant non plus.