jeudi 18 janvier 2018

En une phrase, Jaurès explique en quoi la "France insoumise" le trahit.

Ce n’est pas que je sois idolâtre de Jaurès, certaines de ses tirades larmoyantes sont pour le moins pénibles. Et j’ai lu Michéa et ses thèses sur la « synthèse jaurésienne » . J’ai lu Péguy aussi - avec toute ma reconnaissance, mon admiration et mon affection pour lui, il m’est difficile de ne pas me dire qu’il est tout de même trop sévère avec quelqu’un qui avait des responsabilités que Péguy n’avait pas. Bref ! Voici la citation : 

"Les pauvres n’ont que la patrie." - Et ce n’est pas le moins dégueulasse dans les discours immigrationnistes, de « gauche » comme de « droite ».

Une autre citation, pour le même prix, complémentaire de la précédente (elles sont mises en exergue par Jean Ousset à son ouvrage A la semelle de nos souliers…, c’est lui qui les a trouvées et rapprochées) : 

"La patrie, je ne sais pas ce que c’est. Je ne connais que la France." 


Georges Brassens. Évidemment !